Les Personnes
https://en.wikipedia.org/wiki/Edith_Ackermann
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Edith Ackermann
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| Born | April 23, 1946 Switzerland
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| Died | December 24, 2016 (aged 69–70) Cambridge, Massachusetts
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| Education | University of Geneva |
| Scientific career | |
| Fields | Developmental psychology |
| Institutions | MIT Media Lab |
Edith K. Ackermann (April 23, 1946 – December 24, 2016) was a Swiss-born American psychologist who explored the interactions between developmental psychology, play, learning and design. A graduate of the University of Geneva, and a protege to Jean Piaget, she held permanent and visiting positions at several institutions in the United States and Europe, including the MIT Media Lab.
areer[edit]
Ackermann's career focused on developmental psychology, play and the influence of technology on childhood learning. She worked for the MIT Media Lab with constructionism expert Seymour Papert. Using Papert's Logo programming language, Ackermann and Papert did work for The Lego Group that led to the development of Lego Mindstorms.[4] She was also a visiting scientist at the MIT School of Architecture, was Honorary Professor of Psychology the University of Aix-Marseille I, and was a visiting professor at the University of Siena in Italy. In addition, she worked closely with the Harvard Graduate School of Design.[5][6][7] Ackermann was an Osher Fellow at the Exploratorium.[8]
Ackermann conducted early research that attempted to reconcile Piagetian principles with situated learning.[9] Reanalyzing Piaget's work with the water-level task in terms of how children move from concrete thinking to abstraction, Ackermann wrote that Piaget's theory deals with how children become detached from concrete objects, where other theorists focused on the children's attachment to concrete items.[10] In other work with Marina Bers, Ackermann studied hospitalized pediatric heart patients and found that they benefited from an interactive storytelling environment.[11]
https://en.wikipedia.org/wiki/Seymour_Papert
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Seymour Papert
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Papert with a Turtle robot
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| Naissance | |
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| Décès |
(à 88 ans)
Blue Hill |
Seymour Aubrey Papert (/ˈpæpərt/; 29 February 1928 – 31 July 2016) was a South African-born American mathematician, computer scientist, and educator, who spent most of his career teaching and researching at the Massachusetts Institute of Technology.[2][3][4] He was one of the pioneers of artificial intelligence, and of the constructionist movement in education.[5] He was co-inventor, with Wally Feurzeig and Cynthia Solomon, of the Logo programming language.[2][6][7][8][9]
Career[edit]
Papert worked as a researcher in a variety of places, including St. John's College, Cambridge, the Henri Poincaré Institute at the University of Paris, the University of Geneva, and the National Physical Laboratory in London before becoming a research associate at MIT in 1963.[13] He held this position until 1967, when he became professor of applied math and was made co-director of the MIT Artificial Intelligence Laboratory by its founding director Professor Marvin Minsky, until 1981; he also served as Cecil and Ida Green professor of education at MIT from 1974 to 1981.[13]
Recherches et théories
Au MIT Media Lab, Papert crée le Groupe de Recherche sur l'Épistémologie et l'Apprentissage[3]. Il y développa une théorie originale de l'apprentissage, appelée le constructionnisme (en), qui était basée sur la théorie du constructivisme de Jean Piaget et devait avoir une grande influence. Papert collabora avec Piaget dans les années 1960 et est généralement reconnu comme le plus brillant et celui qui a le mieux réussi parmi les protégés de Piaget ; celui-ci aurait dit à une occasion que « personne ne comprenait ses idées aussi bien que Papert » [4] Papert a repensé la manière dont les écoles devraient fonctionner à partir de ces théories de l'apprentissage.
Papert a aussi acquis une grande renommée pour l'intérêt qu'il a accordé à l'impact des nouvelles technologies sur l'apprentissage en général et les établissements d'enseignement en particulier. À cette fin, Papert utilisa les travaux de Piaget pour développer au MIT le langage de programmation Logo. Logo était conçu comme un outil destiné à améliorer chez les enfants la manière de penser et de résoudre les problèmes. Un petit robot, appelé la Tortue Logo, fut réalisé et les enfants furent encouragés à l'utiliser pour la résolution des problèmes. L'un des objectifs principaux du groupe de recherche de la Logo Foundation[5] est de renforcer la capacité d'acquisition de la connaissance. Papert insiste sur l'idée qu'un langage ou un programme qui peut être appris par des enfants – tel que Logo – ne doit pas présenter de carences fonctionnelles pour des utilisateurs experts.
Dans le cadre de ses travaux sur la technologie, Papert a proposé l'idée de la Machine de la Connaissance (Knowledge Machine). Il est aussi l'un des principaux acteurs du projet « Un ordinateur portable par enfant » (One Laptop per Child), dont le but est de fabriquer et de distribuer la « Machine des Enfants » (The Children's Machine) dans les pays en voie de développement. Il a également collaboré avec la société Lego dans le domaine de ses kits robotiques (Lego Mindstorms) programmables en Logo.
Papert est marié à Suzanne Massie Papert, érudite russe auteur de Pavlovsk, Life of a Russian Palace et Land of the Firebird. Papert a été appelé par Marvin Minsky « le plus grand éducateur en mathématiques vivant[6] ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Negroponte
Nicholas Negroponte, né en 1943, est un informaticien américain d’origine grecque, professeur et chercheur au MIT (Massachusetts Institute of Technology), où il a cofondé le Media Lab.
Biographie
Né à New York d'un père, Dimitri Negroponte, riche armateur grec qui a immigré aux États-Unis, il fait des études à New-York puis en Suisse avant d'intégrer le Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Boston dont il sort diplômé en architecture. Il y devient professeur en 1966 et y crée en 1969, l'Architecture Machine Group, destiné à étudier l'Interface Homme-machine.
Il passe plus d'un an en France en 1982-83, comme directeur du Centre mondial informatique et ressource humaine créé par Jean-Jacques Servan-Schreiber. Il a collaboré avec Alain Colmerauer sur le logiciel Prolog.
En 1985, il crée avec Jerome Wiesner (en) le MIT Media Lab, un centre de recherche dédié à la technologie et au design, et le dirige jusqu'en 2000. En 2019, il est impliqué dans les conséquences de l'affaire Epstein, lorsqu'il révèle avoir conseillé au directeur du Media Lab, Joichi Ito, d'accepter illégalement des dons du milliardaire Jeffrey Epstein[1], accusé de pédophilie et condamné pour prostitution de mineurs.
En 1992, il est cofondateur du magazine des technologies émergentes Wired, où il tient une chronique du numérique jusqu'en 1998[2]. Il développera ses idées dans l'ouvrage Being Digital (en) paru en 1995.
Il est le responsable du projet One Laptop per Child (« Un ordinateur portable par enfant »), ordinateur destiné aux pays émergents, rebaptisé CM1 (« Children Machine 1 »). Il s'est rendu dans les orphelinats au Cambodge avec Alain Colmerauer.
Le CM1 utilise le système d'exploitation Open Source Sugar basé sur Fedora. Au , le CM1 change à nouveau de nom et devient XO.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_mondial_informatique_et_ressource_humaine
Le Centre mondial informatique et ressource humaine est un centre de recherche français, actif de 1981 à 1987.
Fondation
Le Centre mondial informatique et ressource humaine a été fondé par Jean-Jacques Servan-Schreiber (JJSS) et initialement dirigé par Nicholas Negroponte pendant un an. Il était situé au 22 de l'avenue Matignon, à Paris dans le 8e arrondissement.
Ce centre de recherches très pointu, voulu par François Mitterrand et Gaston Defferre, avait une vitrine grand public dans le hall d'entrée, tout le monde et en particulier les enfants étaient invités à venir apprendre la programmation en langage Logo.
Activités
L'objectif principal était d'introduire l'usage de l'outil informatique dans tous les domaines de la société en commençant par les enfants[1].
L'un des buts du CMI était aussi de permettre à l'Afrique de sauter l'étape de l'industrialisation et de passer directement au numérique[1]. JJSS a notamment exposé cette idée à l'ONU en 1985 en présentant ses thèses sur la Révolution informatique et la problématique du Développement[N 1]. Cette idée a été poursuivie par quelques acteurs comme Nicholas Negroponte en Éthiopie[2].
Les matériels informatiques utilisés étaient d'origine autant française qu'étrangère, mais avec une collaboration particulière avec Apple[3],[4].
Beaucoup de passionnés des débuts de la micro-informatique sont passés par là. Une grande ouverture d'esprit permettait, après les horaires d'ouverture au public, pour certains de partager cette passion.[réf. nécessaire]
Richard Stallman, le créateur de la fondation pour le logiciel libre qui était à l'époque au MIT, a travaillé dans les locaux du CMI. Le CMI a recruté des chercheurs en informatique célèbres : Seymour Papert[5], Ben Shneiderman, Alan Kay, Raj Reddy, Henri Gouraud, Patrick Baudelaire notamment[N 2]. Le secrétaire général, Jacques Gualino, était lui-même informaticien[N 3].
Le CMI a financé de nombreux projets de recherche appliquée en informatique tels que le multimédia et l’intelligence artificielle ou d'utilisation de l'informatique en médecine ou en agronomie.

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